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Andropause : ce quil faut savoir sur ce déficit hormonal

Andropause : ce quil faut savoir sur ce déficit hormonal
Souvent comparée à la ménopause féminine, l’andropause est un phénomène naturel qui survient chez les hommes avec l’âge. Le déclin progressif de la testostérone peut entraîner des symptômes, impactant ainsi la qualité de vie des hommes concernés. L’andropause émerge dans plusieurs médias et soulève beaucoup de questions. Il faut dire qu’elle touche directement l’image des hommes et de leur sexualité, élément extrêmement sensible. Évidemment, ce phénomène physiologique lié aux hormones est très souvent mis en parallèle de la ménopause, autre sujet toujours très tabou malgré quelques avancées.
La ménopause masculine commence généralement entre 45 et 65 ans, mais cela peut varier. Ces étapes sont cruciales pour comprendre l’état hormonal de l’homme et déterminer la présence ou non d’andropause. Elles combinent observation clinique et analyses précises pour un diagnostic fiable.
C’est un processus lent qui ne met pas fin à la capacité reproductive de l’homme. En revanche, chez les femmes, la ménopause résulte d’une diminution brusque des niveaux d’œstrogène, entraînant l’arrêt des menstruations et la fin de la fertilité. Des troubles tels que l’ostéoporose, la diminution de la force musculaire ou encore les troubles de l’humeur s’ajoutent à la liste. La gestion active de ces symptômes est cruciale pour maintenir un bien-être optimal. L’huile de pépin de courge est l’allié bien-être des hommes à partir de la cinquantaine. Les oméga 6 qu’elle contient sont nécessaires à la constitution des membranes cellulaires et aident au bon fonctionnement de la prostate et de l’appareil urinaire.
Détecter l’andropause commence par des tests médicaux pour mesurer le taux de testostérone. Une fois diagnostiquée, plusieurs options de traitement peuvent aider à équilibrer les hormones. Ces statistiques soulignent l’importance de reconnaître et d’aborder les symptômes de l’andropause. Avec le vieillissement, le taux de testostérone diminue naturellement, influençant divers aspects du bien-être physique et mental.
Les hommes connaissent des changements physiques parfois déconcertants avec la baisse de testostérone liée à l’âge. Savoir les reconnaître apporte une explication possible à des symptômes souvent attribués au simple passage du temps. Voici les manifestations corporelles les plus fréquentes chez les hommes concernés par une chute hormonale. Le déficit d’androgènes (hormones sexuelles masculines) est principalement dû au vieillissement.
Cependant, comme tout traitement, celui-ci comporte de possibles risques (apnée du sommeil, augmentation du risque de cancer de la prostate…). Pour cette raison, la décision doit être mûrement réfléchie avec votre médecin. Il faut donc bien évaluer la balance bénéfices / risques avant de se lancer dans un traitement tel que celui-ci. Durant cet examen, les signes relatifs à l’andropause seront recherchés, tels qu’une diminution de la pilosité, un excès de graisse au niveau abdominal ou encore un développement des glandes mammaires. Suite à cela un examen complémentaire qui vise à doser le taux de testostérone peut être effectué. Si les résultats s’avèrent négatifs, d’autres examens hormonaux seront réalisés.
Le bon fonctionnement du corps et de tous les organes nécessite un bon sommeil réparateur. En effet, le sommeil constitue une barrière, pour les maladies cardiovasculaires, ainsi que pour la testostérone peut-elle faire pousser la barbe dépression. De plus, il permet de garder constant le taux de testostérone dans le sang. Ainsi, il est conseillé de dormir en moyenne 6 h de temps par jour (pour un adulte). La consommation d’aliments trop gras et trop sucrés peut avoir des conséquences sur le taux de testostérone dans le sang.
Chez certains, elle passerainaperçue, tandis que d’autres ressentiront des effets plusmarqués. L’andropause se soigne via un traitement médicamenteux à base de testostérone. Il faut également veiller à réduire les facteurs de risques de la maladie comme l’alcoolémie ou l’obésité. Dans l’étude SexReport 2025, 5 % des hommes interrogés ont indiqué avoir été touchés par l’andropause, 9 % ont confié être en train de la traverser, et un quart des sondés (22 %) ont reconnu ne pas savoir. Ces chiffres ne sont pas très étonnants, car à la différence de la ménopause, tous les hommes âgés ne présentent pas forcément une andropause.
La testostérone joue aussi un rôle clé dans le mécanisme de l’érection. Lorsque son taux diminue, le corps fournit plus d’efforts pour déclencher et maintenir une érection. Certains hommes constatent que les érections sont moins fermes, moins fréquentes, ou disparaissent plus tôt. La résistance face au stress et à la fatigue s’effrite également, rendant l’excitation plus difficile à maintenir. Certains hommes ressentent surtout une fatigue ou un manque d’entrain général qui finit par affecter leur motivation sexuelle. Les pensées érotiques se font plus rares, l’envie d’initier l’intimité disparaît ou demande des efforts bien plus grands qu’auparavant. Ce phénomène n’est pas un signe de désamour mais plutôt la conséquence directe de la baisse hormonale.
La baisse de la sécrétion de testostérone survient aussi dans le cas où vous suivez un traitement de la prostate. L’andropause correspond à une diminution de la production d’hormones avec l’âge. Moins brutaux que ceux vécus par les femmes à la ménopause, les hommes aussi peuvent ressentir des désagréments liés à ce déficit hormonal. La testostérone est l’hormone sécrétée par les personnes de sexe masculin au niveau des testicules. Elle est à l’origine de la gravité de la voix, de l’apparition de la barbe et des poils chez les hommes.